Avec #Stopasianhate, les États-Unis prennent conscience du racisme anti-asiatique |
Une fusillade à Atlanta a attiré l'attention sur les discriminations dont est victime la communauté.
Le procès de Derek Chauvin, le policier qui a tué George Floyd en mai 2020, a suscité une multitude de réactions de la part des Américains, au même titre que les fusillades qui ont entraîné la mort de huit personnes, dont six femmes d’origine asiatique, dans des salons de massage coréen à Atlanta le 16 mars dernier. Cet événement a déclenché une vague de solidarité envers la communauté asiatique aux États-Unis, avec le hashtag #stopasianhate.
La haine raciale ne touche pas seulement les Afro-Américains. Mais alors, qu'en est-il des autres minorités ethniques américaines, et notamment des plus petites: les communautés asiatique, juive, arabe et/ou musulmane? Quand et pourquoi sont-elles venues aux États-Unis? À quelles discriminations font-elles face? Quel est leur poids politique?
Slate.fr s'est associé à la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales (IFRI) pour suivre l'actualité politique américaine et proposer tous les mercredis le podcast New Deal, avec Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord de l'IFRI, Romain Dessal, fondateur de TTSO, et aujourd'hui, Christophe Carron, directeur des rédactions de Slate.fr.
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Générique: «Cutting It Close», de DJ Freedem