Faut-il vraiment être un bad guy pour séduire? |
Être un «nice guy», c’est bien... mais ça rend invisible.
Quand ce sont les garçons les moins bien intentionnés qui parviennent à conquérir le monde (et notamment les filles), il y a de quoi se poser des questions, et avoir envie de devenir nettement moins gentil. Le cinéma traite régulièrement la question, en oubliant de souligner l’ambiguïté de la chose.
Un mercredi sur deux, Mansplaining observe les masculinités à travers des œuvres culturelles et des faits d'actualité. Parce que la parole masculine est dominante, sauf lorsqu'il s'agit d'interroger les privilèges des hommes.
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Références:
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Be bad! (Miguel Arteta, 2009)
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The Mask (Chuck Russell, 1994)
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Fight Club (David Fincher, 1999)
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30 jours max (Tarek Boudali, 2020)
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Liste des attaques et tueries inspirées par le mouvement incel
Musique: «Warm Sea», Savvier