L’humoriste Constance : “Ce que je préfère, c’est la douceur violente” |
Dans sa chronique hebdomadaire sur France Inter, elle aborde avec la même fantaisie féroce la disparition annoncée des abeilles et son “amie la vulve”. Rencontre avec une comédienne sans tabou.
Elle se qualifie de « petite andouille de la blague », tandis que Charline Vanhoenacker, qui l’accueille dans Par Jupiter !, sur Inter, dit d’elle qu’elle fait « rayonner la noirceur ». L’humoriste Constance, 33 ans, s’est fait repérer à la télévision, dans On n’demande qu’à en rire, sur France 2. Depuis 2017, elle officie sur les ondes chaque mardi, étrillant savoureusement les « journées mondiales », tous sujets confondus. Lors de celle consacrée au chapeau (oui !), elle tire le sien « à tous les êtres humains qui ont rêvé de devenir des cosmonautes ou des princesses, et qui ont finalement fait des boulots de merde » ; « bisous au designer de sandwichs de Sodebo, caresses réconfortantes au parolier de Michel Sardou, pipe amicale aux créateurs de mots croisés », poursuit-elle. Avec une grande douceur, la jeune femme multiplie les propos drôles et crus, mais pas seulement. Pour sa chronique de bonne année, en janvier, elle salue les abeilles : « Pour vous, c’est la dernière, au revoir, désolée, votre extinction c’est comme ça, on aurait pu y échapper mais on a préféré sortir un nouvel iPhone. » La fine mouche, qui joue actuellement son spectacle Pot pourri au Théâtre des Deux-Anes, à Paris, est non seulement piquante, mais aussi engagée.
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