Sur France Inter, dans les pas d’Emily Loizeau à l’île d’Yeu |
Dans “CO2, mon amour”, ce dimanche, la chanteuse évoque son lien très fort avec l’île. Un bon bol d’air marin à respirer sans bouger de chez soi.
Sur les terres vendéennes elle s’est initiée à l’amitié, à la scène, et a vécu ses premières amours. Interrogée par Denis Cheissoux, Emily Loizeau explore, dans CO2, mon amour sur France Inter, son lien indéfectible avec l’île d’Yeu. Ce refuge en pleine mer fait « partie de [son] ADN ». La chanteuse et le producteur arpentent la côte, contemplant le Vieux Château, une chapelle dédiée à la Vierge Marie ou des paysages saisissants. Et donnent à entendre, comme si on y était, des piaillements, « mélange de mouettes et de goélands ». Les moutons, dont le pelage se marie avec les couleurs de la mer et de la flore au sol, ne sont pas en reste et font l’admiration de la Franco-Britannique, engagée pour la nature. Son amie Émilie Page, bergère et agricultrice sur l’île, offre un éclairage intéressant, expliquant la présence du cupressus (ou cyprès). Emily Loizeau transmet la beauté des lieux de son « caillou », comme elle le qualifie tendrement. « Le sublime est ici, assure-t-elle, c’est le plus beau des temples. »
q CO2, mon amour, Dimanche à 14 heures. Réalisation : Xavier Pestuggia. 36 mn.