Confinement : une plasticienne du son propose aux habitants du Grand Paris d’enregistrer leur environnement |
Avec le confinement, les décibels diminuent et nos oreilles découvrent des bruits jusqu’ici noyés dans le brouhaha urbain. Marie Popeck a lancé une collecte d’enregistrements pour archiver ces “moments sonores inédits”.
L’association Bruitparif est formelle : mi-avril, le long des axes routiers parisiens et franciliens, le bruit généré par la circulation avait diminué de 60% à 90% par rapport à l’habituelle pollution sonore d’avant confinement. Chacun·e, dans sa rue, peut constater ce calme inhabituel qui révèle à nos oreilles des sons d’ordinaire noyés dans le brouhaha urbain : pépiements d’oiseaux, discussions des voisins, souffle du vent…
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