La difficile existence du mouvement libertarien sous la présidence Trump |
Ces derniers jours, un développement politique est passé relativement inaperçu: le retrait de l'un des candidats à l'élection présidentielle américaine de 2020, Justin Amash. Cet élu du Michigan à la Chambre des représentants a quitté le Parti républicain en juillet 2019 et avait pensé ce printemps se présenter pour le compte du Parti libertarien.
Le Parti libertarien est un petit parti, il regroupe des militants qui ont développé une vision extrême de l'individualisme. C'est une mouvance politique sans équivalent en France, on peut les comparer à des anarchistes, mais qui seraient plutôt de droite —il y a, bien sûr, pas mal de variantes au sein de cette mouvance libertarienne.
À quand remonte cette mouvance politique? Quels sont leurs principes? Que deviennent-ils aujourd'hui, confrontés à l'idéologie nationaliste de Trump? Comment fonctionnent les petits partis dans le système politique américain?
Pour suivre la course à la présidentielle américaine, Slate.fr s'est associé à la newsletter «Time to Sign Off» (TTSO) et à l'Institut français des relations internationales (IFRI) pour proposer tous les mercredis le podcast Trump 2020, avec Laurence Nardon, chercheuse à l'IFRI et spécialiste des États-Unis, et Romain Dessal, fondateur de TTSO.
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Générique: «Ghost City (Saeptem Trump Remix)», de Dmitriy Diomores
Photo: Jason Redmond / AFP